Elisa Blanchard – 2022
Elisa Blanchard
Soolking
Soolking
Vendredi 7 Juillet
Soolking est un chanteur algérien de musique urbaine né le 10 décembre 1989 à Baïnem, en Algérie. Il est surtout connu pour son style unique qui mélange le raï, le reggae, le rap et le R&B. Soolking a commencé sa carrière musicale en 2013 et s’est rapidement imposé comme l’un des artistes les plus en vue de la scène musicale algérienne.
Il a connu une percée internationale avec son tube « Dalida » en 2018, qui est devenu un succès dans plusieurs pays européens et du Moyen-Orient. Depuis, il a sorti deux albums, « Fruit du démon » en 2018 et « Vintage » en 2021, qui ont rencontré un grand succès auprès du public.
Soolking est également très actif sur les réseaux sociaux, où il compte des millions d’abonnés.
En 2022, il a notamment repris le titre « Suavemente » du chanteur portoricain Elvis Crespo, qui a connu un grand succès dans les années 90. La version de Soolking est une fusion de musique latine et de sonorités urbaines, avec un refrain chanté en espagnol et des couplets en français. La chanson est accompagnée d’un clip vidéo coloré et dynamique qui met en valeur le style unique de Soolking. Depuis sa sortie, la chanson a connu un grand succès et a été vue plus de 9 millions de fois sur YouTube. Si vous êtes fan de musique latine ou de musique urbaine, vous ne voudrez pas le manquer le 7 juillet prochain.

Louis Bertignac
Louis Bertignac
SAMEDI 8 Juillet
Après un retour aux sources avec Origines, où il revisitait ses coups de foudre musicaux d’ado, Louis Bertignac revient avec un nouvel album. Barbe et cheveux blancs, une guitare toujours à la main, le rocker français affiche sans complexe ses 64 ans.
Celui qui est sans nul doute l’un des plus populaires guitaristes français, reconnu pour ses soli inspirés, s’est construit un nom en solo au fur à mesure des années, a produit d’autres artistes avec talent et est même passé par le fauteuil de coach dans The Voice. Populaire oui, mais encore et toujours résolument rock !
Il nous présentera sur scène ce tout nouvel opus, sans oublier ses anciennes chansons devenues cultes et quelques reprises. La promesse d’un concert mémorable sur scène.

L’entourloop
L’entourloop
SAMEDI 8 Juillet
Les infatigables seniors du collectif L’Entourloop, King James et Sir Johnny, sont fiers de vous présenter le 10 Juin 2022 leur très attendu troisième et nouvel album intitulé « La clarté dans la confusion ».
Produit dans leur désormais légendaire «Bandulu Studio», les 20 titres qui composent ce nouvel album sont le fruit d’un minutieux travail de production, réalisé avec patience et passion.
Avec « La clarté dans la confusion », L’Entourloop témoigne à sa manière, à travers un puzzle de répliques de films, de cette étrange période que nous venons de traverser collectivement, mettant en œuvre tout son savoir-faire lorsqu’il s’agit
de faire danser les foules. Depuis 1964, année où le titre « My Boy Lollipop » a inondé les ondes des stations radio européennes, l’amour des membres de L’Entourloop pour le Reggae et sa culture n’a cessé de grandir. C’est aux légendaires pionniers de cet incroyable mouvement tels que Tom Wong, Count Machuki, Prince Buster ou Lee « Scratch » Perry, que L’Entourloop a souhaité rendre hommage avec ce troisième album. Un album sous
forme de déclaration d’amour à la culture soundsystem et ses enfants que sont le Reggae, le Dancehall et le Hip Hop. Le succès de leurs précédents albums « Chickens in Your Town » (2015) et « Le Savoir Faire » (2017), avec leur fameuse recette « Banging Hip-Hop Inna Yardie Style », ainsi que les centaines de concerts donnés à travers l’Europe ont très vite propulsé L’Entourloop sur le devant de la scène. Le mystérieux collectif, qui cumule des centaines de millions d’écoutes sur les plateformes, ne cesse de réunir une audience toujours plus grande à travers le monde.
Grands amateurs de vinyles et de cinéma d’antan, les insatiables diggers, en quête perpétuelle du sample ultime, avaient fait patienter leurs fans en dévoilant d’abord l’excellent DJ-Mix « Start From Scratch » à l’été 2021, puis en sortant une série de 3 remixes officiels, dont celui de l’incontournable hymne réunionnais « Li Sem ». Une autre caractéristique marquante de L’Entourloop, c’est aussi la grande faculté de King James et Sir Johnny à bien s’entourer. Que ce soit avec Skarra Mucci et leur désormais classique « Dreader Than Dread » ou leur excellent EP collaboratif « Golden Nuggets » paru en 2019, Capleton pour l’extravagant remix de « Burn Dem Down », le discret Panda Dub qu’ils ont invité sur « Le Bonheur », ou encore Biga Ranx pour leur tube « Push The Limits », L’Entourloop a le don de donner naissance à des collaborations qui marquent les esprits. Avec pas moins de 32 invités, venus des quatre coins du monde, pour croiser le fer à la manière d’un western, le nouvel album « La clarté dans la confusion » ne fait pas exception en la matière !
Côté Reggae, les légendes jamaïcaines que sont Ken Boothe ou Bounty Killer côtoient les représentants de la nouvelle génération comme Alborosie, Kabaka Pyramid, Queen Omega ou Marcus Gad. Côté Hip-Hop, on croise entre autres, Chali 2Na du légendaire groupe américain Jurassic 5, le suédois Promoe du groupe Looptroop Rockers, l’américaine Rêverie, l’excellent JuJu Rogers, le beatmaker Degiheugi ou encore l’irrésistible sud-africaine Dope St Jude. L’influence UK se fait aussi sentir avec les pionniers de la Jungle, General Levy et Tippa Irie, et les poids lourds de la scène grime, Flowdan, Lady Chann et Killa P. La scène hexagonale est aussi à l’honneur avec des invités de marque tels que Big Red, O.B.F ou Manudigital. Pour compléter ce formidable casting, L’Entourloop a bien entendu fait appel à l’inégalable Troy Berkley, originaire des Bermudes, et au talentueux trompettiste N’Zeng, ancien du Peuple de l’Herbe, qui accompagnent tous deux le collectif depuis ses débuts, mais aussi à l’excellent rappeur néerlandais BlabberMouf, qui vient de rejoindre la nouvelle formule live. Ce printemps, L’Entourloop est reparti, plus déterminé que jamais, à l’assaut des scènes françaises et européennes, affichant complet sur tout le début de leur immense tournée 2022, qui compte plus de soixante dates d’ici à la fin de l’année ! Après cinq longues années d’attente, L’Entourloop place la barre toujours plus haut avec son nouvel album « La clarté dans la confusion » et sa myriade d’invités, disponible le 10 Juin 2022.

Trinix
Trinix
SAMEDI 8 Juillet
TRINIX est un duo de producteurs Français.
Faisant partie de la génération des Bedroom Producers, ils nous livrent une musique électronique dynamique et aérienne : un laboratoire de sons dans lequel cohabitent synthétiseurs, pianos,
vocales, loopers et contrôleurs.
Dès l’enfance, ils suivent une formation classique et apprennent à jouer piano, batterie et guitare.
Rapidement, ils s’initient à la MAO et commencent à créer leur propre musique. Leurs inspirations musicales sont à la fois électroniques, contemporaines et cinématographiques Stromae, Flume, Marvin Gaye, Berlioz ou encore Hans Zimmer.
Dans leurs productions, ils collaborent avec les plus grands: Fergie, Lost Frequencies, Armin van Buuren .. Le duo se produit dans le monde entier, tout juste de retour d’une tournée aux USA en Avril 2022. Ils se produisent également en live sur une vingtaine de festivals cet été et viennent de terminer une tournée FR de concerts en salles. Lyon, Bordeaux, Paris, Nantes, Lille, Toulouse … Tous les concerts étaient complets. Ils cumulent plus de 3 millions d’abonnés sur leurs réseaux sociaux ainsi que 550 millions d’écoutes sur toutes les plateformes. Fraîchement certifiés DISQUE D’OR sur deux de leurs titres (Replay et Sweet Dreams), PLATINE et DIAMANT sur deux autres (Rodeo et Midnight). Aujourd’hui, TRINIX incarne le renouveau de la musique électronique et bouscule les codes en associant toutes sortes de sonorités.

Mandragora
Mandragora
Vendredi 7 Juillet
Mandragora préfère ne pas dévoiler son nom et se faire appeler « Neto », d’où le nom d’utilisateur @holasoyneto sur la plupart de ses réseaux sociaux.
Apparemment né dans la ville désertique de Chihuahua, située dans le nord du Mexique, c’est là qu’il a décidé de se consacrer pleinement à la musique, s’inscrivant au conservatoire local mais abandonnant rapidement pour poursuivre une carrière dans la production musicale.
Alors qu’il étudiait encore au conservatoire de Chihuahua, il a eu accès à un studio de production, il a rapidement réalisé les possibilités. Un jour, un de ses camarades de classe a écouté une de ses compositions et lui a dit : « Hé, Neto, ça ressemble à de la musique de Goa, tu devrais la jouer dans les raves locales » Peu de temps après avoir été introduit dans la scène rave locale, il a commencé à promouvoir différents types d’événements pour différents types de public, ce qui a aidé à développer une communauté locale pour introduire la « Mandragora ».
Inspiré par la scène rave locale et l’éthique du hip-hop, il a créé « #futureprog », un sous-genre de la trance de Goa basé sur l’idée d’une musique en perpétuelle évolution, essayant de prédire l’avenir.Cette création l’a conduit à s’installer au Brésil pendant 6 ans pour rejoindre les forces d’Alien Records, sortant plusieurs albums et singles à succès, se produisant dans des festivals légendaires, et inspirant une toute nouvelle scène de producteurs et de fêtards dans le monde entier.

La Yegros
La Yegros
VENDREDI 7 Juillet
« Viene de (, viene de mí, viene del viento No miento es un sen3miento Es un sen3miento. »
Nous sommes en 2013 quand, sur un rythme de cumbia avec guitare, accordéon et percussions, le refrain de Viene de Mí propulse La Yegros aux oreilles du monde. « Una luz, no más que una luz / Querida, una luz torcida / Que en en desierto cambió mi vida » (« Une lumière, pas plus qu’une lumière / Chérie, une lumière tortueuse / Qui dans le désert a changé ma vie »), chante-t-elle dans l’un des couplets, sans imaginer que ces paroles sont prophéMques : devenu un tube internaMonal, Viene de Mí a braqué les projecteurs sur l’arMste argenMne et véritablement changé sa vie.
Bientôt 10 ans après la sorMe de son premier album du même Mtre que sa chanson emblémaMque, La Yegros veut fêter ça, sur scène où elle excelle, en se lançant dans une tournée anniversaire. « Cuuumbia ! » Viene de Mí a déposé une couronne sur la tête de La Yegros, immédiatement sacrée Reine de la nu-cumbia, un mix de la tradiMon musicale sud-américaine et des nouvelles producMons électroniques. Rares sont de tels hymnes, capables de fédérer des publics de tous horizons tout en les introduisant à des rythmes que la plupart découvrent.
Ce tour de force Ment principalement à la personnalité de La Yegros, née à Buenos Aires de parents originaires de Misiones, une province argenMne coincée entre le Brésil et le Paraguay, où les fêtes se déroulent au son du chamamé (un mélange de polka et de tradiMon guarani) et de la cumbia colombienne. Cet enracinement familial l’imprègne tout autant qu’elle est baignée dans les sonorités synthéMques remuant les métropoles du monde, du dancehall jamaïcain aux producMons électroniques. Tous les ingrédients sont alors réunis pour élaborer une cocMon musicale irrésisMble, avec le souMen déterminant du producteur King Coya (Gaby Kerpel).
King Coya et l’auteur compositeur Daniel MarMn ont échafaudé la fusée Viene de Mí pour ZZK, le label pionnier de la cumbia digitale (Chancha Via Circuito, El Remolón, Frikstailers…) dont La Yegros fut la première arMste féminine d’envergure, et la première dont l’album fut distribué mondialement par EMI-France (Parlophone).
Fusée qu’il fallait mehre à feu. Pour la pyrotechnie, on peut compter sur La Yegros, une pile atomique qui propulse tout ce qu’elle chante.
De Buenos Aires à New York et de Tokyo à Paris, Viene de Mí, qui combine la fraîcheur des ritournelles populaires et le tranchant des producMons électroniques, s’est propagé à grande vitesse, à la radio comme sur les dancefloors. La folie s’est carrément emparée des foules se pressant à ses concerts où La Yegros, embarquée dans des tournées triomphales, s’est rapidement forgée une réputaMon de bête de scène.
Dix ans après Viene de Mí, La Yegros est souveraine sur son trône où l’album l’a installée. Mais elle ne s’est pas reposée sur ses lauriers et elle a étanché, avec Magne3smo (2016) puis Suelta (2019), sa soif de cocktails composés de folklores argenMns, de dub ou de funk, en plus d’ingrédients africains et moyen-orientaux, plantés d’ambiances tropicales et de paroles tantôt poéMques ou engagées. Dix ans au cours desquels elle semble avoir écumé toutes les salles et fesMvals du monde, sans que son enthousiasme s’émousse et en interprétant systémaMquement, avec une joie solaire, son premier hit que chaque spectateur connait par coeur.
Elle aime ça, nous aussi ! Rendez-vous est donc fixé pour des retrouvailles trop longtemps ahendues : La Yegros reprend la route avec son talent, sa gouaille et son charisme, le temps d’une tournée rétrospecMve au cours de laquelle elle livrera de nouvelles versions de ses chansons saillantes. Et comme depuis dix ans, son public chavirera de bonheur en chaloupant sur Viene de Mí dont il est désormais acquis qu’on ne se lassera jamais.
